Lors de la crise financière asiatique et dans le cas de l’Argentine en 1997, ou encore lors de la bulle internet et de la faillite ENRON de 2001, elles auraient sous-estimé jusqu’au dernier moment les risques de défaut de paiement.
Dans les années 2004-2007, elles auraient sur-noté des produits financiers qui se sont révélés toxiques.
Pendant la crise de la zone euro, elles auraient conduit la Grèce au bord de la faillite et aggravé la crise financière par leurs décisions d’abaisser les notes de la dette publique de la Grèce, puis celles du Portugal et de l’Espagne.
Procès trop facile pour des boucs-émissaires idéaux ? Ou vrais coupables ?
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