Mariage, Pacs, adoption, divorce, donation…. Autant de problématiques qui méritent souvent de bien se renseigner et de profiter de conseils personnalisés. C’est l’objectif de la sixième édition de cette semaine d’information organisée sous le patronage du ministère des Solidarités et de la cohésion sociale, et de la ville de Paris. Cinq jours de rencontres avec le grand public pour lui permettre d’en savoir plus sur les droits de la famille et de poser des questions à des notaires.
Le programme de cette semaine :
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Consultations en face à face : du lundi au vendredi, de 10 heures à 18 heures, le mardi 14 février nocturne jusqu’à 21h, dans les locaux de Paris Notaires Infos – 1 Bd de Sébastopol, 75001(Inscription obligatoire par téléphone : 3620 dites « NOTAIRES » ou en ligne)
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Consultations dans les mairies d’arrondissement de Paris – Relais Informations Familles, le jeudi 16 février : 2e, 4e, 6e, 8e, 9e, 10e, 11e, 12e, 14e, 16e arrondissements (adresses et horaires sur le site)
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Conseils par téléphone : du lundi au vendredi, de 14 heures à 18 heures : 3620 (Appel gratuit à partir d’un poste fixe)
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Conseils par Internet via 5 tch@ts à thèmes : du lundi au vendredi, de 14 heures à 16 heures : les questions pourront être posées 15 jours avant l’ouverture du tch@t.
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Conférences : dans les locaux de la Chambre des Notaires de Paris (12 avenue Victoria – 75001 Paris). Inscription par téléphone ou sur le site
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Vidéos d’information en ligne
Inscriptions, informations, adresses et horaires sur notairesetfamilles.fr
Un sondage sur l’évolution de la famille et des droits de chacun
Questions de société, héritage, familles recomposées, relation avec les notaires… ce sondage réalisé en décembre dernier, traite de nombreuses questions sur les probables évolutions du droit des familles. Globalement, les personnes interrogées sont globalement favorables à des changements législatifs portant sur le mariage homosexuel, les mères porteuses, le droit des beaux-parents dans les familles recomposées et l’euthanasie. A l’inverse, ils sont majoritairement contre le droit de déshériter un enfant (en France, les enfants sont héritiers réservataires) et de financer la dépendance par l’héritage (certaines aides sont actuellement déductibles de l’actif successoral).