La consommation est le pendant de l’épargne. La part du revenu disponible qui n’est pas consommée est épargnée. Mais elle se distingue également de l’investissement en ce qu’elle est censée aboutir à la destruction du bien ainsi consommé alors qu’au contraire l’investissement suppose une utilisation multiple du bien.
Ce caractère éphémère est bien présent dans la notion de « société de consommation » par laquelle on désigne un monde dans lequel les produits se périment très vite – y compris ceux qui, sans être comptabilisés dans la catégorie des investissements, sont censés durer – et doivent donc être fréquemment renouvelés.
Des éléments de réflexion dans le présent dossier, qui s’appuie notamment sur les très sérieuses données de l’Insee.
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