Les décisions managériales de restructurations sont généralement légitimées par des contraintes de compétitivité et des objectifs de performance, notamment financiers. Pourtant, la réussite d’une restructuration dépend beaucoup de la façon dont elle est gérée socialement.
Les salariés sortent en effet rarement indemnes d’une restructuration. Il y a d’une part ceux qui partent et qui peuvent rencontrer des problèmes de reclassement et ceux qui restent, « les survivants ». Si l’on veut éviter les crispations sociales, il est urgent d’apprendre à gérer socialement les restructurations.
Pour en savoir plus, retrouvez la réflexion de Rachel Beaujolin-Bellet dans son article Les restructurations : une sortie par le haut est-elle possible ? ainsi que l’ensemble du dossier « Restructurations et mobilités professionnelles » dans le numéro 153 d’Economie et Management.
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